mercredi 27 novembre 2024

Les « MILF » (la 100ème !)

Nous y voilà. Déjà le centième article sur ce blog 👏. Je ne pensais pas atteindre un jour ce seuil. Et d’ailleurs, je n’avais rien planifié du tout, ce site se construisant semaines après semaines tel un « work in progress ». J’en profite d’ailleurs pour remercier (et faire un peu de pub) à nouveau Cinemart, sans qui il n’aurait pas ce joli habillage mais une esthétique beaucoup plus minimaliste, pour ne pas dire inexistante. A la base, il s’agissait simplement de chroniquer les films pornographiques français d’el famoso « âge d’or » (1975-1983) réédités en DVD par Blue One (ex-Alpha France, la célèbre firme au « fer à cheval » de Francis Mischkind, ponte du X de l’époque). Des rééditions d’ailleurs sujettes à caution puisqu’ayant nécessité des coupes de quelques minutes (sacrilège !) pour faire rentrer trois voire cinq films sur un seul DVD. L’occasion aussi de rendre un modeste hommage à ce genre « mineur interdit aux mineurs » de cette époque qui m’a toujours fasciné. Puis, me prenant au jeu, j’ai, comme vous avez pu le constater,… élargi mon champ d’action en évoquant d’autres films que ceux d’Alpha France et en « variant mon contenu » (Youtubeur / Blogueur, leçon 1ère année…) avec des documentaires, des interviews, des « tops » et des filmographies. Mais rassurez-vous (ou pas, d’ailleurs), il n’y aura pas de deux-centième. Ce blog n’est pas destiné à perdurer dans le temps. Pourtant, la « matière » (les films) est là, inépuisable (il y en aurait pour jusqu’en 2040 !). Mais, et je pense que vous pouvez aisément le comprendre, je n’ai ni l’envie ni (peut-être) le temps de chroniquer l’ensemble des films X français sortis sur grand écran lors de cette période dorée. Même la passion a ses limites et Christophe Bier est déjà passé par là avec son Dictionnaire exhaustif. Je râcle déjà les « fonds de tiroir », là. Mais avant de tirer définitivement le rideau, il reste de nombreux articles à concocter. Comme celui du jour, consacré aux femmes « mûres » (ou qui le font) du porno français de ces années folles.

Diane Dubois

Diane Dubois, alias de Denise Lascène, est une institution. Toute une vie dédiée au(x) plaisir(s). Elle avait déjà quasiment quarante piges (née en 1939) quand elle tournait dans le porno. Et on peut dire qu’elle y « mouillait le maillot ». Il n’y avait guère que Catherine Ringer pour mettre autant de cœur à « l’ouvrage ». Alors qu’on ne saurait à priori distinguer, parmi toutes ces actrices, celles qui se lançaient dans le porno dans l’espoir (quasiment toujours déçu) d’accéder au cinéma dit « traditionnel » de celles qui le faisaient pour « prendre en main leur sexualité » et assouvir des penchants exhibitionnistes, pour Denise, il n’y a aucun doute sur son appartenance à la seconde catégorie. Après le X, elle devint pendant une trentaine d’années la tenancière d’un club libertin parisien, d’abord au 106 rue Saint-Honoré puis au 41 rue Quincampoix, où se pressaient vedettes de la télé et du showbiz. Cette véritable « reine de la nuit parisienne » fût aussi la grande confidente de… Patrick Sébastien. Ci-dessous, deux petites entrevues, datant de 1988 et 1995, avec Thierry « ouais » Ardisson, jamais avare en sujets « putaclic » :

https://www.youtube.com/watch?v=-jOLB1rDeJQ

https://www.youtube.com/watch?v=tkVnko5619Q

Perversions très intimes (Michel Caputo, 1978)

Les bons coups (Burd Tranbaree, 1979)

La grande enfilade (Patrick Aubin, 1979)


Elisabeth Buré

Elisabeth Buré serait née en 1949 et aurait donc connu les tournages X dans sa trentaine. Pas véritablement une « cougar » donc. Pourtant, qu’elle incarne la mère de Marilyn Jess, de dix ans sa cadette, dans le déjanté La vorace ne choque pas à l’écran. Régulièrement utilisée par Burd Tranbaree pour des rôles secondaires, il lui offrira toutefois le personnage principal de l’acclamé Le droit de cuissage (de grâce, si vous ne devez voir qu’un seul Tranbaree dans votre vie – ce qui serait une erreur… il faut en voir plusieurs 😄–, que ce soit celui-là !), qui lui valût, ainsi qu’au film, une critique dithyrambique d’Alain Minard dans La saison cinématographique, pourtant généralement sévère avec le genre pornographique (« Buré passe de l’exaspération avec le mari à la tendresse avec l’amant, à l’écœurement avec le maître chanteur : une grande actrice. »). 

Inoubliable dans Le droit de cuissage (Burd Tranbaree, 1980)

Secrétariat privé (Burd Tranbaree, 1982)

Le pied à terre (Burd Tranbaree, 1981)


Danièle David

A l’instar d’Elisabeth Buré, Danièle David (ou Azzalini) fait « MILF » (dois-je en préciser la signification ? « Mother I'd Like to Fuck »…) et on l’aura également beaucoup vu dans des Tranbaree (Les femmes des autres, La perversion d’une jeune mariée…). Et comme ses consœurs sus-citées, « l’entrée des artistes » (le sexe anal, pour parler plus crûment) ne lui faisait pas peur.

Le retour des veuves (Burd Tranbaree, 1980)

La rage du sexe (Patrick Aubin, 1977)

Tendre et malicieuse Christina (Robert Renzulli, 1980)

lundi 25 novembre 2024

Les brunes ne comptent pas pour des prunes…

Hélène Shirley

« Elle avait ce (discret) parfum de bourgeoisie qui faisait tout le charme transgressif de ses prestations hard. » (Christophe Bier)

Si vous me dites « le charme français », je vous répondrai Dominique Saint Claire. Ou Hélène Shirley, nom de scène de Nicole Segaud, actrice récurrente du cinéma pornographique français. Elle fût au début des années 80 la compagne de Richard Allan. Une relation compliquée, aux dires de celui-ci (pas facile, dans ce milieu, de concilier vie privée et vie professionnelle) et qui éclaire d’un jour nouveau leurs scènes de copulation en commun, dont certaines mémorables (La femme objet, La petite étrangère, Happening, Petites culottes chaudes et mouillées…). Elle tourna aussi des soft (La femme en spirale, de Jean-François Davy) et pour la vidéo.

La femme objet (Frédéric Lansac, 1980)
Regardez-moi ces belles gambettes somptueusement galbées...

Les bas de soie noire (Burd Tranbaree, 1981)

La petite étrangère (Burd Tranbaree, 1981)

Secrétariat privé (Burd Tranbaree, 1982)


Mika Barthel (ou plus simplement « Mika »)

La comique de la bande. Cette petite brune rigolote, aux probables origines asiatiques, incarnait en effet souvent les filles délurées et de nature joyeuse (un peu « l’anti-Gambier », en somme). En avance sur son temps, elle fût aussi l’une des « préposées » à la sodomie et l’une des premières à se pointer avec le « ticket de métro ». Elle trouve ses rôles les plus marquants dans Adorable Lola, Dans la chaleur de Saint-Tropez (tous deux de Gérard Kikoïne) et L’aubergine est bien farcie de Michel Caputo, dans lequel elle se fend d’une tirade hilarante d’obscénité.

Les petites vicieuses (Michel Caputo, 1978)

Les bas de soie noire (Burd Tranbaree, 1981)

Mélodie pour Manuella (Joe de Palmer, 1982)

Les après-midi d'une bourgeoise en chaleur (Patrick Aubin, 1980)


Martine Grimaud

Petite brune piquante ressemblant vaguement à… Cécile Duflot, Martine Grimaud débuta dans le X dès 1975. Elle fait partie, avec Brigitte Lahaie et Véronique Maugarski, de l’attachant trio d’héroïnes de Belles d’un soir, l’un des meilleurs Lansac. Je l’ai aussi reconnue en tant que figurante dans Nous irons tous au paradis d’Yves Robert (membre de la troupe de théâtre de Danièle Delorme).

Tout est permis (Georges Fleury, 1977)

A pleine bouche (Patrick Aubin, 1977)

samedi 23 novembre 2024

L’amour aux sports d’hiver (1981) / La Vénus des neiges (1984), de Michel Lemoine

Alors que le pays où certains considèrent BHL comme un « philosophe » (cette blague…) et d’autres Alain Soral comme un « intellectuel » (et pourquoi pas Cyril Hanouna ou Didier Deschamps, tant qu’on y est ?) commence tout doucement à entrer dans la froidure hivernale (et la crise généralisée ?), Michel Lemoine et son actrice fétiche Olinka nous emmènent dans les cieux enneigés pour des aventures… torrides. Vais-je avant la clôture de ce blog avoir l’occasion de tomber sur un film de ce réalisateur en valant la peine ? Mettons fin au suspense, ce ne sera pas encore pour cette fois.


L’amour aux sports d’hiver (1981)

De : Michel Leblanc (= Michel Lemoine)

Avec : Olinka (Jacqueline), Gabriel Pontello (Michel), Mika Barthel (Hélène Dorval), Christian Filippi (= Dany Berger) (Pierre Dorval), Claudie (Alice, la soubrette), Martina Alberti (Muriel, la voisine), ??? (Eric, le violoncelliste, rôle non hard).

Quel est le con qu'a foutu du fil dentaire dans la fondue ? Ah non, merde, c'est pas les bons dialogues...

Pour L’amour aux sports d’hiver, Lemoine joue à nouveau la carte de la bluette romantique, basée sur un quiproquo et ambiancée de musiques douces (classique ou jazz). Pontello croit voir en Olinka une fille envoyée par « Madame Paul » (une pute, quoi…) pour qu’il ne passe pas seul son séjour aux sports d’hiver, tandis qu’elle pense avoir affaire à un homme sélectionné par son agence matrimoniale. Pontello en dragueur volage invétéré et Olinka en blonde nunuche, du sur-mesure et du déjà-vu. Dans le chalet loué par Pontello, ils retrouvent un couple (la toujours enjouée Mika Barthel et Dany Berger), la soubrette, une voisine ainsi qu’un violoncelliste. Bien sûr, tout ce petit monde va forniquer gaiement (sauf le musicien), parfois en extérieur (même habillés, z’ont dû se les geler…). La scène de la fondue fait irrémédiablement penser à celle des Bronzés avant que son issue en partouze ne nous ramène à la triviale réalité. Après une dernière partie de jambes en l’air en groupe, Olinka, toujours en quête de l’amour et de son futur mari, se maque finalement avec le discret violoncelliste, laissant les jouisseur/euses entre eux. Voila, on s’est encore tapé un porno super pro mais sans originalité, humour ni passion. Las. 

Tout en souplesse...



La Vénus des neiges (1984)

De : Michel Leblanc (= Michel Lemoine)

Avec : Olinka (Muriel / Lorna), Gabriel Pontello (Bernard), Evelyne Lang (Clara), Michelle Villers (Juliette), Olivia Florès (Marie), Christian Filippi (= Dany Berger) (Roland), Gérard Grégory (Robert), Babelush (Dany), Natacha (Alice, la strip-teaseuse), Bernard Cliff (Hans, le conducteur de traîneau).

Les effets du réchauffement climatique...

Olinka et Gabriel Pontello, on les retrouve à nouveau dans cette Vénus des neiges. C’est lui qui a « recruté » le sosie tricolore de Marilyn Monroe pour le cinéma X lors de ses sorties nocturnes, forcément, ça crée des liens… L’histoire (c’est important) : Muriel (Olinka) rejoint un couple d’amis (Gabriel Pontello et Evelyne Lang) dans une station de ski, son fiancé (Dany Berger) devant faire de même incessamment sous peu. Mais une rumeur se répand : et si la prude Muriel n’était autre que la volcanique Lorna, qui enflamma la station l’hiver dernier ? Et c’est reparti pour 90 minutes de va-et-vient et de galipettes habituelles, entrecoupés de paysages enneigés, de téléphérique, de ski et de scènes de comédie dignes d’un roman-photo, sur des musiques désuètes. Je commence à perdre patience avec ce Lemoine, qui n’a décidément rien à dire. Et dire que j’en ai encore une poignée à voir… Par contre, baiser à poil (ou presque) dans la neige (enfin, quand même recouverte), faut le faire.


mercredi 20 novembre 2024

Guy Royer


De Guy Royer, je ne sais pas grand-chose. Si ce n’est qu’il n’est plus de ce monde, emporté par un cancer de la prostate, selon une information de son pote Richard Allan. Qu’il s’est lancé dans le X « par défi » et car « c’était à la mode », étant « sans inhibition » et surtout désireux d’échapper à un emploi traditionnel après six mois passés au soleil en Outre-Mer (ben tiens, vous m’en direz tant…). Ah, on pourra dire que son attribut, de bien belle circonférence, en aura « visité », des bouches et des vagins (et occasionnellement des culs), il suffit d’ailleurs de voir le nombre de « tags » à son nom sur ce blog, quasiment tous les cinéastes de l’époque firent appel à lui. Mais alors, qu’est-ce qui fît qu’il ne fût pas considéré comme membre de la bande des « quatre Mousquetaires » du X français (Allan, Ceray, Armand et Aveline) ? Peut-être son physique plus « passe-partout » (et disons-le, plus avantageux) ou son caractère peut-être « en dedans » (un peu « peine à jouir », toujours selon Allan) par rapport à ses compagnons de tournages ? Quoi qu’il en soit, il demeure une figure masculine incontournable du genre. Ironie de l’histoire, il portait le même patronyme que le très conservateur député gaulliste prénommé Jean (1920-2011), partisan de « l’ordre moral » et qui fût l’un des plus ardents pourfendeurs de la pornographie au niveau national et dans sa bonne ville de Tours.

Les petites nymphettes (Gérard Kikoïne, 1981)

Secrétariat privé (Burd Tranbaree, 1982)

Parties de chasse en Sologne (Burd Tranbaree, 1979)

Le pied à terre (Burd Tranbaree, 1981)

La vitrine du plaisir (Gérard Kikoïne, 1978)

dimanche 17 novembre 2024

Rions un peu…

 

- Bonjour Marion, nous sommes ravis de vous recevoir pour la 382ème fois au sein de notre média pluraliste.

- Bonjour Pascal. Ca tourne, là ?

- Non, on répète pour un reportage sur l’immigration qui sera diffusé la semaine prochaine. Vous êtes à Lampedusa devant un camp de migrants pour dénoncer la politique laxiste de l’Union Européenne en la matière, c’est bien ça ?

- Pas du tout, c’est ce qu’on va faire croire, je suis sur le port de Toulon…

- Mais je ne comprends pas, ce sont bien des migrants qu’on voit derrière vous, là, non ?

- Oui, enfin… Ce sont des travailleurs dans les palmeraies de votre patron Bollo, je les ai affrétés spécialement pour mon prochain gangbang.

- Vous voulez dire que vous n’avez pas trouvé de candidats locaux ?

- Ben non. Vous savez, la pénurie de main d’œuvre touche tous les secteurs, on est bien obligé. Quand on vous le dit qu’avec le socialisme mental, les Français ne veulent plus travailler. Et puis l’avantage avec les Noirs, c’est que ce ne sont pas des cucks déconstruits comme ici, il n’y a pas de Sandrine Rousseau en Afrique. En plus, il parait qu’ils en ont une plus grosse alors vous pensez, je n’ai pas hésité une seconde. J’en mouille d’avance…

- Je vois, c’est de l’immigration choisie, en somme…

- Oui, si vous voulez. Et les dix plus performants, on les régularise et on leur fait signer un contrat d’exclusivité chez Dorcel ou Jacquie et Michel.

- Je vais me faire l’avocat du diable mais n’est-ce pas une vision un peu utilitariste de l’être humain ?

- Peut-être. Mais pour le grand « humaniste » Dupont-Moretti, ils sont juste bons à « ramasser nos poubelles »… Avouez qu’avec moi, c’est bien plus agréable et beaucoup mieux payé.

- C’est certain. Bon, Marion, qu’est-ce qu’on vous souhaite ?

- Beaucoup de plaisir… et d’être Présidente de la République un jour. C’est qu’il faut que je me prépare, si les juges rouges empêchent Jordy et Tantine d’y aller en 2027…

- On y travaille, on y travaille, même si l’ARCOM nous met des bâtons dans les roues…

- Je sais, je ne vous remercierai jamais assez. D’ailleurs, si vous voulez passer à la maison boire un verre un de ces jours, je vous accueillerai avec joie, Pascal… Vous m’excitez avec votre petite barbe et vos cheveux blancs…

- Euh oui, enfin, on verra… Coupez !

vendredi 15 novembre 2024

Les « bi »

Pour ce 13ème épisode de mon passage en revue de celles et ceux qui ont fait et participé à cette grande aventure de la pornographie française sur grand écran, je vais vous parler des « bi ». Non, ne partez pas, Bruno, Jordan, Marion, les deux Eric, je ne parle pas des binationaux mais des… bisexuels (ah merde, bon, vous pouvez vous barrer finalement…). Peu nombreux, évidemment. J’en ai recensé trois. Il faudrait aussi évoquer l’Italien Carmelo Petix (1937-2016) mais sur lequel j’ai trop peu d’informations et que je n’ai pas suffisamment croisé dans les films que j’ai vu jusqu’à présent.

Gil Lagardère (né en 1955) et Piotr Stanislas (né en 1952 en Pologne) font partie des acteurs régulièrement utilisés par Gérard Kikoïne. Le premier est l’un des rares « hardeurs » de l’époque à être plutôt « beau gosse ». Quant au second, dont le visage me fait penser à celui de Dominique Pinon, on l’aura vu s’auto-fellationner dans le Adorable Lola de « Kiko » (on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même…).

Claude Loir, enfin (dont voici une intéressante interview / biographie), est un peu comme la Tour de Pise ou notre « bloc central » politique : il penche sérieusement d’un côté (le côté « hommes », en l’occurrence). S’il intégra le circuit du X hétéro, c’était pour se prouver sa « virilité » et parce que « c’était l’époque » et il le fît essentiellement sous la direction de Burd Tranbaree (sous pseudonyme Ghislain Van Hove), qui lui offrit même le premier rôle masculin dans La Rabatteuse et La perversion d’une jeune mariée.

Gil Lagardère

Principaux rôles et apparitions :

Secrets d’adolescentes (Gérard Loubeau, 1980)

Les petites écolières (Frédéric Lansac, 1980)

Les petites nymphettes (Gérard Kikoïne, 1981)

Ma mère me prostitue (Francis Leroi, 1982)

Dans la chaleur de Saint-Tropez (Gérard Kikoïne, 1982)

La filmographie




Piotr Stanislas

Principaux rôles et apparitions :

La maison des phantasmes (Burd Tranbaree, 1979)

Les vices cachés d’Eva Blue (Francis Leroi, 1979)

Adorable Lola (Gérard Kikoïne, 1981)

Prison très spéciale pour femmes (Gérard Kikoïne, 1982)

Vacances à Ibiza (Gérard Kikoïne, 1982)

La filmographie

Claude Loir

Principaux rôles et apparitions :

La rabatteuse (Burd Tranbaree, 1978)

La perversion d’une jeune mariée (Burd Tranbaree, 1978)

Parties de chasse en Sologne (Burd Tranbaree, 1979)

Les bas de soie noire (Burd Tranbaree, 1981)

La filmographie