- Bonjour
Marion, nous sommes ravis de vous recevoir pour la 382ème fois au
sein de notre média pluraliste.
- Bonjour Pascal.
Ca tourne, là ?
- Non, on répète
pour un reportage sur l’immigration qui sera diffusé la semaine prochaine. Vous
êtes à Lampedusa devant un camp de migrants pour dénoncer la politique laxiste
de l’Union Européenne en la matière, c’est bien ça ?
- Pas du tout, c’est
ce qu’on va faire croire, je suis sur le port de Toulon…
- Mais je ne comprends
pas, ce sont bien des migrants qu’on voit derrière vous, là, non ?
- Oui, enfin… Ce
sont des travailleurs dans les palmeraies de votre patron Bollo, je les ai affrétés
spécialement pour mon prochain gangbang.
- Vous voulez
dire que vous n’avez pas trouvé de candidats locaux ?
- Ben non. Vous
savez, la pénurie de main d’œuvre touche tous les secteurs, on est bien obligé.
Quand on vous le dit qu’avec le socialisme mental, les Français ne veulent plus
travailler. Et puis l’avantage avec les Noirs, c’est que ce ne sont pas des
cucks déconstruits comme ici, il n’y a pas de Sandrine Rousseau en Afrique. En
plus, il parait qu’ils en ont une plus grosse alors vous pensez, je n’ai pas
hésité une seconde. J’en mouille d’avance…
- Je vois, c’est
de l’immigration choisie, en somme…
- Oui, si vous
voulez. Et les dix plus performants, on les régularise et on leur fait signer
un contrat d’exclusivité chez Dorcel ou Jacquie et Michel.
- Je vais me
faire l’avocat du diable mais n’est-ce pas une vision un peu utilitariste de l’être
humain ?
- Peut-être.
Mais pour le grand « humaniste » Dupont-Moretti, ils sont juste bons
à « ramasser nos poubelles »… Avouez qu’avec moi, c’est bien plus
agréable et beaucoup mieux payé.
- C’est certain.
Bon, Marion, qu’est-ce qu’on vous souhaite ?
- Beaucoup de
plaisir… et d’être Présidente de la République un jour. C’est qu’il faut que je
me prépare, si les juges rouges empêchent Jordy et Tantine d’y aller en 2027…
- On y
travaille, on y travaille, même si l’ARCOM nous met des bâtons dans les roues…
- Je sais, je ne
vous remercierai jamais assez. D’ailleurs, si vous voulez passer à la maison
boire un verre un de ces jours, je vous accueillerai avec joie, Pascal… Vous m’excitez
avec votre petite barbe et vos cheveux blancs…
- Euh oui, enfin, on verra… Coupez !
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