Un « boulard » sans
dialogues poilants, c’est comme Roméo sans Juliette, Laurel sans Hardy, la mer
sans les vagues, les vagues sans l’écume, l’écume sans le sel, le sel sans le
poivre, enfin bref, vous l’aurez compris, il manquerait quelque chose et la
saveur ne serait pas la même. Comme je l’ai déjà indiqué précédemment, La
vorace est un « must » indépassable en la matière mais voici un petit
florilège de répliques cocasses qui résonnent dans ma tête au moment où je dois
écrire ces lignes.
« Madame, sachez que je ne
plaisante jamais quand il s’agit de la queue ! » (Cyril Val à Elisabeth
Buré dans Le droit de cuissage)
-
Madame la Comtesse, j’ai le plaisir de vous annoncer
que vous allez en prendre plein le cul, je vous le promets !
- - Promettez Robert, promettez mais surtout : tenez !
(Claude Loir / Emmanuelle Parèze dans La rabatteuse)
« Je vais te faire reluire
les molaires, oh cong, oh putaing ! » (Jean-Pierre Armand à Cathy
Ménard, le corps enseveli sous le sable, dans Dans la chaleur de Saint-Tropez)
- Qu'est-ce que c'est ?
- Un godemichet, Madame
- Mais pour quoi faire ?
- Pour se le mettre dans l'cul, Madame
- Dans l'cul seulement ?
(France Lomay / Morgane dans Les nymphomanes)
« Allo, oui Monsieur, ça
vous intéresserait de savoir ce que fait votre femme en ce moment chez moi ?
Elle suce mon mari devant moi. Ah, comme vous dites, c’est vraiment une salope
! » (Marie-Claude Viollet à Hervé Amalou au bout du fil dans Les délices
de l’adultère)
« La vie
idéale, c’est la vie de la poêle à frire : le cul au chaud, le ventre plein et
la queue dans la main de la cuisinière ! » (Richard Allan à Cathy Ménard
dans L’initiation d’une femme mariée)
« Que j’éclaire la quéquette de
Monsieur Machin ou la chatte de Madame Machine, c’est comme si j’éclairais la
gueule de Monsieur Zitrone, hein. C’est exactement pareil. » (Jean-Jacques Renon
dans La vitrine du plaisir)
« Joëlle, faites briller Monsieur
! » (Brigitte Lahaie à Agnès Lemercier dans La perversion d’une jeune mariée)
« Il ne faut jamais négliger le
trou du cul. » (Jessica Stehl à Philippe Ikrelef dans Bourgeoises mais
perverses)
« L’essentiel n'est-il pas de
bien jouir ? » (John Oury à Guy Royer dans Couples voyeurs et fesseurs)
- Vous prendrez bien quelque chose ?
- Oui, votre cul !
- Ah !
- Non ?
- Oui !
(Charlie Schreiner / Agnès Lemercier dans Veuves en
chaleur)
« Je trouve qu’on ne baise bien
qu’avec un homme et sa femme. » (Laura Clair à Guy Royer et Marianne Aubert dans
Couple « libéré » cherche compagne « libérée »)
« Bruno, vous tombez bien, je voudrais faire une
comparaison, sortez-moi votre grosse pine. » (Nadine Roussial à Jacques Gatteau
dans Lingeries intimes)
Merci pour ces répliques effectivement poilantes. J'en redemande...
RépondreSupprimerHi hi, c'est tout ce que j'ai en magasin pour le moment... Le coup de la poêle à frire est bien trouvé :-)
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