lundi 5 août 2024

Les répliques qui tuent

Un « boulard » sans dialogues poilants, c’est comme Roméo sans Juliette, Laurel sans Hardy, la mer sans les vagues, les vagues sans l’écume, l’écume sans le sel, le sel sans le poivre, enfin bref, vous l’aurez compris, il manquerait quelque chose et la saveur ne serait pas la même. Comme je l’ai déjà indiqué précédemment, La vorace est un « must » indépassable en la matière mais voici un petit florilège de répliques cocasses qui résonnent dans ma tête au moment où je dois écrire ces lignes.

« Madame, sachez que je ne plaisante jamais quand il s’agit de la queue ! » (Cyril Val à Elisabeth Buré dans Le droit de cuissage)

- Madame la Comtesse, j’ai le plaisir de vous annoncer que vous allez en prendre plein le cul, je vous le promets !

-   Promettez Robert, promettez mais surtout : tenez ! (Claude Loir / Emmanuelle Parèze dans La rabatteuse)


« Je vais te faire reluire les molaires, oh cong, oh putaing ! » (Jean-Pierre Armand à Cathy Ménard, le corps enseveli sous le sable, dans Dans la chaleur de Saint-Tropez)

- Qu'est-ce que c'est ?

- Un godemichet, Madame

- Mais pour quoi faire ?

- Pour se le mettre dans l'cul, Madame

- Dans l'cul seulement ?

(France Lomay / Morgane dans Les nymphomanes)

« Allo, oui Monsieur, ça vous intéresserait de savoir ce que fait votre femme en ce moment chez moi ? Elle suce mon mari devant moi. Ah, comme vous dites, c’est vraiment une salope ! » (Marie-Claude Viollet à Hervé Amalou au bout du fil dans Les délices de l’adultère)

« La vie idéale, c’est la vie de la poêle à frire : le cul au chaud, le ventre plein et la queue dans la main de la cuisinière ! » (Richard Allan à Cathy Ménard dans L’initiation d’une femme mariée)

« Que j’éclaire la quéquette de Monsieur Machin ou la chatte de Madame Machine, c’est comme si j’éclairais la gueule de Monsieur Zitrone, hein. C’est exactement pareil. » (Jean-Jacques Renon dans La vitrine du plaisir)

« Joëlle, faites briller Monsieur ! » (Brigitte Lahaie à Agnès Lemercier dans La perversion d’une jeune mariée)

« Il ne faut jamais négliger le trou du cul. » (Jessica Stehl à Philippe Ikrelef dans Bourgeoises mais perverses)

« L’essentiel n'est-il pas de bien jouir ? » (John Oury à Guy Royer dans Couples voyeurs et fesseurs)

- Vous prendrez bien quelque chose ?

- Oui, votre cul !

- Ah !

- Non ?

- Oui !

(Charlie Schreiner / Agnès Lemercier dans Veuves en chaleur)

« Je trouve qu’on ne baise bien qu’avec un homme et sa femme. » (Laura Clair à Guy Royer et Marianne Aubert dans Couple « libéré » cherche compagne « libérée »)

« Bruno, vous tombez bien, je voudrais faire une comparaison, sortez-moi votre grosse pine. » (Nadine Roussial à Jacques Gatteau dans Lingeries intimes)

2 commentaires:

  1. Merci pour ces répliques effectivement poilantes. J'en redemande...

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    1. Hi hi, c'est tout ce que j'ai en magasin pour le moment... Le coup de la poêle à frire est bien trouvé :-)

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