« J’ai arrêté quand les
films ne comportaient quasiment plus que du hard. (…) Le X d'aujourd'hui n'a
rien à voir avec des films ou du cinéma, c'est de la gynécologie en gros plan. »
Ah ben tiens, finalement j’ai in
extremis le temps de vous « chier » un dernier article avant le 31
décembre minuit. Après les ricaines (Dawn Cumming, Serena) et les teutonnes
(Christina Schwarz et les actrices des productions franco-allemandes signées
Michel Jean), je poursuis mon « internationale » des actrices du
porno français avec aujourd’hui la belgo-néerlandaise Erika Cool, bonne copine
de Brigitte Lahaie, avec qui elle signa la controversée tribune « Liberté
d’importuner » (saintes femmes…) en réaction aux excès du mouvement
#MeToo. C’est son copain de l’époque, notre buriné moustachu Dominique Aveline,
qui l’introduit (sic) dans le milieu du cinéma coquin comme cochon (et dans le
cochon, tout est bon !). Elle y restera environ quatre années (1975-1979),
avant de raccrocher pour la raison indiquée dans l’accroche liminaire de ce
post. Elle devint ensuite agent immobilier, faisant face à des enseignes
concurrentes qui n’hésitèrent pas à dévoiler son passé pour lui faire du tort,
ainsi qu’à l’agence qui l’employait. Elle peint également et a publié son
autobiographie en 2017. Un peu de pub pour une reconversion artistique plutôt
réussie, ça ne mange pas d’pain...
Allez, cette fois c’est fini pour 2024… Bons réveillon et Jour de l’An !
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