lundi 30 décembre 2024

Erika se la Cool douce…

Erika Cool

« J’ai arrêté quand les films ne comportaient quasiment plus que du hard. (…) Le X d'aujourd'hui n'a rien à voir avec des films ou du cinéma, c'est de la gynécologie en gros plan. »

Ah ben tiens, finalement j’ai in extremis le temps de vous « chier » un dernier article avant le 31 décembre minuit. Après les ricaines (Dawn Cumming, Serena) et les teutonnes (Christina Schwarz et les actrices des productions franco-allemandes signées Michel Jean), je poursuis mon « internationale » des actrices du porno français avec aujourd’hui la belgo-néerlandaise Erika Cool, bonne copine de Brigitte Lahaie, avec qui elle signa la controversée tribune « Liberté d’importuner » (saintes femmes…) en réaction aux excès du mouvement #MeToo. C’est son copain de l’époque, notre buriné moustachu Dominique Aveline, qui l’introduit (sic) dans le milieu du cinéma coquin comme cochon (et dans le cochon, tout est bon !). Elle y restera environ quatre années (1975-1979), avant de raccrocher pour la raison indiquée dans l’accroche liminaire de ce post. Elle devint ensuite agent immobilier, faisant face à des enseignes concurrentes qui n’hésitèrent pas à dévoiler son passé pour lui faire du tort, ainsi qu’à l’agence qui l’employait. Elle peint également et a publié son autobiographie en 2017. Un peu de pub pour une reconversion artistique plutôt réussie, ça ne mange pas d’pain...

Esclaves sexuelles sur catalogue (Burd Tranbaree, 1977)

Les bons coups (Burd Tranbaree, 1979)

Les hôtesses du sexe (Michel Barny, 1977)

Cathy fille soumise (Bob W. Sanders, 1977)

Délires porno (Michel Barny, 1977)


Allez, cette fois c’est fini pour 2024… Bons réveillon et Jour de l’An !

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