mardi 12 novembre 2024

Karine Gambier

Après la longue digression pas forcément nécessaire de l’article précédent (mais bon, c’est bien aussi, parfois, de se « mettre à nu » – sic pour montrer davantage qui se trouve à l’autre bout du clavier…) et en espérant ne pas avoir perdu en route de cyclistes fumeurs barbus tatoués accros au smartphone (sans rancune, hein ? Chacun fait, fait, fait, c’qui lui plait, plait, plait…), coup de projecteur aujourd’hui sur Karine Gambier, l’un des visages féminins les plus familiers de cette troupe de comédiens pornographiques de ces années-là. Cette blonde platine bien « charpentée », à la beauté un peu froide (Alain Plumey / Cyril Val la surnommait « L’iceberg »…), aura promené sa jolie frimousse et sa plastique irréprochable sur les plateaux X de 1976 à 1980, tournant pour la plupart des « maîtres » du genre. Elle s’aventura aussi dans le « soft », le « Z » et même la pub (pour Kit Kat). Selon Michel Barny, elle aurait ensuite fait un « mariage avantageux ». Ouais ben, le mari aussi…

Perversions très intimes (Michel Caputo, 1978)

La dernière nuit / Shocking ! (Frédéric Lansac, 1976)

Je suis à prendre (Francis Leroi, 1978)

Parties de chasse en Sologne (Burd Tranbaree, 1979)

Queue de béton (Michel Caputo, 1979)

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