Ah, « Kiko », on
l’écouterait pendant des heures, tant la passion et l’humour transpirent de ses
interviews. Bon, une seule suffira pour passer en revue sa carrière, du montage
son (sa formation initiale) jusqu’à la direction d’acteurs de la trempe
d’Oliver Reed, Anthony Perkins ou Donald Pleasence, en passant bien évidemment
par ses « films d’amour » (comme il les appelle) et même une pub pour
Bonux avec Maïté (!) et un épisode du Commissaire Moulin. Une vie de rêve(s) et
d’aventures, en somme, que ce témoin (et acteur) d’une époque hélas révolue relate
avec sa bonne humeur habituelle pour Bis Not Dead, que l’on remerciera à
nouveau après l’interview qu’ils avaient déjà réalisé avec Michel Barny, sur le
même format.
Ce blog se propose de faire un panégyrique (forcément non-exhaustif) de "l'âge d'or" du cinéma pornographique français, cette "parenthèse enchantée" s'étendant du milieu des années 70 jusqu'au début des années 80, de la libération sexuelle post-68 à l'arrivée de la vidéo et du Sida. Un cinéma en 35 mm (et 20 cm...), avec poils et sans silicone, injustement "ghettoïsé" par l'inique "loi X" de 1975. « La pornographie est un art dont les artistes sont parfois incompris. » (Michel Ricaud)
lundi 22 juillet 2024
Interview carrière : Gérard Kikoïne
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